Par Marie :

Quand Tristan rentre à la cour du roi Marc, il compte tout lui expliquer mais le roi prend la parole en premier et dit :
« Que s’est-il passé ? en interrogeant Tristan.
- Comme tu le sais, répond Tristan, je me suis moi-même porté volontaire pour aller combattre le Morholt afin d’éviter que de nouveaux esclaves ne lui soient envoyés.
- Oui, bien sûr c’est évident ! dit Marc en essayant de suivre l’histoire.
- Eh bien, c’est ce que j’ai fait, je suis allé combattre le Morholt. Dès mon arrivée sur l’île Saint-Samson, je libère ma barque car je sais qu’il n’y aura qu’un seul vainqueur à l’issue de ce combat à mort. »
Le roi Marc l’interrompt :
« Oui, mais si j’ai bien compris, tu étais tout seul pour combattre le Morholt ?
- Bien évidemment, poursuit Tristan, car c’était à moi d’aller le combattre, je suis le fils du roi de Loonois et ton neveu, mon peuple a besoin de moi, j’ai l’obligation d’aller me battre contre tous nos ennemis !
- Wahouh ! Quelle preuve de grand courage !  réagit Marc tout ébloui, puis il continue sa phrase, je suis très fier de toi, tu sais, et tes parents seraient très fiers de toi aussi. »
Tristan reprend :
« Alors après avoir relâché mon embarcation, le Morholt et moi, nous nous sommes enfoncés dans l’île pour un combat mortel. »
Marc coupe Tristan :
« J’attends la suite avec impatience, allez, j’attends la suite ! 
- D’accord, mais calme-toi ! répond Tristan. Bon revenons-en à nos moutons. Ensuite, nous nous armés, nous équipant de nos heaumes, nos haubert, nos écus et nos cottes de mailles et le combat a commencé. Et puis, lors du combat, quand je plante mon épée dans le crâne du Morholt, un bout y reste coincé. Avant de mourir, le Morholt a poussé trois cris furieux de douleur. »
Le roi Marc, n’arrivant pas à y croire, dit :
« C’est incroyable, on ne sera plus obligé d’envoyer trois cents jeunes filles et jeunes hommes en esclavage ! Et c’est tout ?
- Non, lui répond Tristan. Dès que le combat fut achevé, j’ai dû prendre la barque du Morholt pour revenir, et c’est pour ça que tous les villageois ont cru que c’était le Morholt qui avait gagné, mais j’avoue que malgré ça, le Morholt a bien combattu. »
Le Roi Marc reprit la parole :
« Oui, moi aussi j’avoue que je suis très content que tu l’aies battu !
- Bien et maintenant je respecte le Morholt car ça a été un merveilleux dernier combat mais l’avantage c’est que l’on n’est plus obligé d’envoyer de nouveaux esclaves, conclut Tristan. » Fin.

Par Sarah :

Arrivé en Cornouailles avec le bateau du Morholt, je m’empressai d’aller voir le roi Marc pour lui expliquer comment l’âpre combat s’était passé. Je m’approchai du roi quand il me lança alors choqué :
« Tristan ! tu as combattu, tu as remporté la victoire de cette âpre bataille ? »
Avec un large sourire, je lui répondis :
« Oui, cher roi ! mais le Morholt a très bien combattu lui aussi.
- Allons-nous mettre près du buffet et raconte-moi comment cela s’est déroulé, me proposa alors le roi.
- Bien, allons-y, acceptai-je. »
Nous nous approchâmes du buffet et je lui racontai ce qu’il s’était passé :
« Voilà, quand j’ai rejoint le Morholt, j’ai repoussé ma barque au large car un mort n’aura pas besoin d’une deuxième barque. Ensuite, nous nous sommes excités au combat par des propos vexants tels que « vassal ». Le Morholt, fourbe qu’il était, me donne le premier coup en traître ce qui m’a pas mal amoché. Je réplique avec mon premier coup d’épée. À un moment, je tombe le long d’une pente, j’ai alors crié trois fois de peur. Le Morholt me rejoint pour m’abattre, sauf que je me suis caché dans un buisson derrière lui. Et, oui ! À mon tour d’être astucieux ! « Ahhhhhh » criè-je en me jetant sur lui. Je lui assène un coup d’épée dans la tête, il avait le crâne tellement dur qu’un fragment de mon épée s’y est brisé. Mais je peux vraiment dire que le Morholt a failli m’avoir à mainte reprise, poursuivis-je. 
- Tu as fait preuve d’un énorme courage, Tristan ! Tu es loyal, valeureux, vertueux, robuste ainsi qu’opiniâtre. Tu mériterais d’être roi de Cornouailles, Tristan ! me félicita le roi Marc.
- Merci, cher oncle, je vous en suis reconnaissant. »
Je repartis ensuite raconter cela aux personnes qui le voulaient et qui s’étaient certainement inquiétées pour moi.
FIN.

Par Rayan H. :

Tristan :
« En arrivant à l’île Saint-Samson, je n’avais pas attaché ma barque comme le Morholt car je savais qu’un seul de nous deux allait en revenir vivant. Nous nous sommes insultés de tous les noms puis, nous avons commencé à nous battre, nous avons paré plusieurs coups chacun mais le Morholt prend un risque qui lui a coûté très cher : il se baisse et essaie de me trancher les jambes mais je me décale sur la gauche et je lui assène un coup violent à la tête. Un morceau d’épée très bien placé est resté dans son crâne. En arrivant en Irlande, j’ai pu dire aux grands seigneurs que le Morholt était mort et que le morceau d’épée resté dans son crâne était le tribut de la Cornouailles. Puis, je suis rentré tout doucement vers ce fier château de Cornouailles, épuisé de mon affrontement contre le Morholt qui s’est très bien battu. »
Le roi Marc répondit :
« Eh bien ! Quelle incroyable aventure tu as vécu ».
FIN.